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Star Wars - Rogue Leader

Section Test.


Star Wars Rogue Leader : Rogue Squadron II
22/03/2002
Edité par Lucas Arts
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Star Wars Rogue Leader : Rogue Squadron II
09/11/2001
Edité par Lucas Arts
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Star Wars Rogue Leader : Rogue Squadron II
03/05/2002
Edité par Lucas Arts
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Console: Nintendo Gamecube
Genre:Shoot'em Up
Développeur: Factor 5
Joueurs: Solo uniquement
Une exclusivité Nintendo Gamecube

Photo de la boite de Star Wars - Rogue Leader
Star Wars - Rogue Leader, capture d'écran Star Wars - Rogue Leader, capture d'écran Star Wars - Rogue Leader, capture d'écran
Certains jeux sont destinés à rester dans l'Histoire, associés à jamais dans l'imaginaire collectif à la console sur laquelle ils ont été commercialisés. C'est le cas du titre qui nous intéresse aujourd'hui. Replaçons nous dans le contexte de l'époque. Nous sommes au début de l'année 2002. La Gamecube, toute nouvelle console 128 bits de Nintendo, s'apprête à débarquer sur le vieux continent. Chose assez singulière, cette nouvelle venue ne pourra pas compter sur un Mario pour lancer sa carrière, le line up étant dépourvu d'une nouvelle aventure du plombier moustachu (il faudra quasiment attendre six mois pour voir débarquer Super Mario Sunshine). Le catalogue de la machine n'en est pas moins doté de jeux à faire baver plus d'un gamer devant son écran, parmi lesquels un certain Star Wars : Rogue Leader.

Celui-ci n'est autre que la suite de Rogue Squadron, sorte de shooter en 3D temps réel qui avait remporté un franc succès sur PC et Nintendo 64 à la fin des années 90. Cette fois, ce second volet sera bel et bien exclusif à la machine de Big-N, lui offrant ainsi un atout de taille pour s'imposer face à la concurrence. Oui, mettons un terme au suspense : Rogue Leader est un hit, resté dans le cœur de nombreux joueurs et qui a même décidé votre serviteur à acquérir une Gamecube. Portrait de ce soft hors du commun...


De Yavin à Endor...

Je me souviens avoir inséré le disque dans la console avec une certaine impatience, les doigts tremblants d'excitation. Il faut dire que depuis X-Wing Alliance, le fan de Star Wars et de space opera que je suis n'avait guère eu l'occasion de reprendre les commandes d'un chasseur dans l'univers de George Lucas. Appuyant sur le bouton power, on se retrouve devant une petite séquence humoristique mettant en scène des stormtroopers dansant sur l'air de la cantina de Tatooine, avec une caméra qui s'éloigne pour laisser apparaître le logo Lucas Arts. Un X-Wing déboule ensuite, révélant sous ses tirs de lasers l'emblème de Factor 5, développeur du jeu, dans une magnifique explosion. Puis arrive le menu, avec son encart offrant en mode fenêtré quelques scènes issues des films. D'ores et déjà, le fan de Star Wars est conquis et le soft a rempli son office : plonger ce dernier dans l'univers si cher à son cœur. Après quelques minutes passées à digérer ce premier contact, on lance la première mission.

Premier choc : celle-ci n'est autre que l'attaque de la première Etoile Noire ! Par la suite, on s'apercevra que Rogue Leader n'est autre qu'un patchwork des plus grandes batailles de la trilogie originelle, agrémentées de quelques missions inédites apportant un réel plus à l'univers étendu en couvrant des périodes pas forcément visibles au sein des longs métrages. Ainsi, la seconde mission consistera en l'escorte d'un convoi d'évacuation de Yavin IV vers Hoth, tandis que la troisième ne sera ni plus ni moins que la reconstitution de la célèbre bataille ayant eu lieu sur la planète glacière. Par la suite, vous aurez l'occasion de dérober la navette impériale de classe Lambda qui sera utilisée par Han Solo et son commando pour débarquer sur la lune forestière d'Endor, puis de revivre l'intégralité de la destruction de la seconde Etoile Noire dans la peau de Wedge Antilles. Finalement, la seule chose que l'on pourra reprocher à Rogue Leader sera une certaine discontinuité dans les différents niveaux, puisqu'il est indéniable qu'il ne jouit pas d'une richesse narrative comparable à celle d'un X-Wing Alliance qui fait office de référence en la matière.

Difficile et complet, Rogue Leader vous occupera longtemps

Au total, ce sont donc une dizaine de missions que vous devrez remplir pour boucler l'aventure, chacune durant en moyenne une dizaine de minutes. Cela peut paraître peu, mais ne croyez pas pour autant terminer le jeu en une poignée d'heures, et ce pour plusieurs raisons. La première, c'est que celui-ci peut se révéler extrêmement difficile dans certains niveaux. Je pense notamment aux missions d'escorte, dans lesquels vous aurez pour tâche de protéger des vaisseaux représentant des cibles faciles. Toujours en sous nombre, vous devrez veiller à détourner le feu des adversaires sur vous, tout en gardant un œil sur votre propre santé qui pourra très vite devenir plutôt précaire. J'aurai l'occasion d'y revenir plus tard, mais sachez que vous disposez de trois vies pour boucler chaque mission, sans le moindre checkpoint au sein de ces dernières. En cas de game over, vous devrez reprendre le niveau en cours depuis son début. Autant vous dire que vous faire descendre lors de la dernière phase pourra par conséquent être extrêmement frustrant !

Le second facteur garant de la longévité du soft n'est autre que l'intelligente gestion du score. A chaque fin de mission, vos prouesses seront évaluées et vous obtiendrez, si vous le méritez, une médaille de bronze, d'argent, ou d'or. Par prouesses, comprenez que plusieurs facteurs rentreront en ligne de compte, comme la précision de vos tirs, le nombre d'adversaires abattus, d'alliés détruits, le temps pour boucler la mission, le nombre de vies perdues, ou encore l'utilisation de l'ordinateur de visée. Chacune de ces statistiques comportera trois paliers, et il vous sera nécessaire de valider ces paliers sur chaque stat pour obtenir la médaille correspondante. Par exemple, si vous avez terminé la mission rapidement tout en perdant trop de vies, vous pourrez lui dire adieu ! Ces médailles ne sont pas qu'un élément de scoring malgré la présence d'un tableau de score. En effet, chacune d'entre-elles vous octroiera un certain nombre de points (trois pour le bronze, six pour l'argent et dix pour l'or) que vous pourrez accumuler afin de débloquer un total de cinq stages bonus plutôt savoureux. Si vous avez toujours rêvé d'incarner le seigneur Vador pendant la bataille de Yavin, de prendre le contrôle des tourelles du Faucon Millenium lors de la fuite de l'Etoile Noire pour abattre la patrouille d'alerte, ou bien d'échapper à bord de ce même vaisseau mythique aux impériaux dans le champ d’astéroïdes ceinturant la planète Hoth, vous ne pourrez vous empêcher de rejouer encore et toujours les mêmes missions afin de glaner suffisamment de points pour enfin accéder à ces bonus. A ce niveau, le soft de Factor 5 est donc un exemple criant des changements survenus dans le monde du jeu vidéo au cours des dix dernières années. De nos jours, un tel contenu eût été mis à disposition moyennant finance sous forme de DLC, alors qu'il y a dix ans, seules vos compétences constituaient un obstacle pour obtenir ces bonus, et non votre portefeuille...

A tout cela, s'ajoute une mission d’entraînement consistant en une série d'épreuves sur la planète Tatooine. Pour le simple plaisir d'affronter Wedge Antilles et Biggs Darklighter dans une course au fond du Canyon du Mendiant aux commandes d'un T-16 Skyhooper, celle-ci vaudra le coup que l'on s'y penche. Enfin, notons que certaines missions pourront être effectuées de jour ou de nuit, le jeu se basant sur l'heure système de la console pour déterminer ce paramètre. Le niveau en question changera ainsi radicalement dans la manière dont il vous faudra l'appréhender...

Contrairement aux apparences, Rogue Leader est donc doté d'un contenu conséquent qui tiendra le joueur persévérant, et surtout fan de Star Wars, longtemps collé à son téléviseur.

Un gameplay de très haute volée

Difficile, Rogue Leader l'est donc assurément. Mais cette difficulté n'est aucunement liée à une quelconque faiblesse en termes de gameplay. Tout d'abord, sachez que le soft de Factor 5 ne peut en aucun cas être comparé à d'autres jeux comme X-Wing Alliance que je mentionnais en début d'article. Là où ce dernier était une véritable simulation, Rogue Squadron II, à l'instar de son prédécesseur, mise sur un gameplay très arcade doté d'une prise en main immédiate, et s'approche beaucoup plus d'un shoot'em up en trois dimensions que d'un space opera, même si ce second volet laisse beaucoup plus de place aux missions spatiales.

Avant chaque niveau, un court briefing vous exposera les tenants et aboutissants de la bataille qui va suivre, objectifs consultables à n'importe quel moment en pressant la touche start une fois le combat commencé. Le joueur se retrouve alors dans le hangar, afin de sélectionner le vaisseau qu'il souhaitera piloter. Ce choix n'en est pas vraiment un lors de la première tentative, l'engin étant souvent imposé. Néanmoins, une fois le niveau bouclé avec le vaisseau de base, il sera possible de le rejouer avec tous les chasseurs disponibles pour ladite mission. Puisque l'on aborde le sujet, sachez que vous pourrez, au fil de l'aventure, piloter un nombre conséquent de vaisseaux, allant du mythique X-Wing au Snowspeeder, en passant par le Y-Wing et autres A-Wing. S'y ajouteront quelques vaisseaux bonus à débloquer, parmi lesquels le Slave I de Boba Fett, le Faucon, et même le TIE Advanced de Vador. Chaque vaisseau sera plus ou moins adapté à un certain type de situation. A titre d'exemple, le A-Wing constituera un choix parfait pour les engagements contre les chasseurs TIE, mais s'avérera inoffensif contre les cibles terrestres. Le Y-Wing, avec ses bombes, sera donc tout désigné pour palier à cette faiblesse malgré sa lenteur et sa faible puissance de feu en combat air-air. Au cours d'une même mission, les adversaires pourront évoluer, nécessitant de votre part un changement de monture. Il vous suffira ainsi de vous diriger vers le symbole correspondant sur le champ de bataille, et vous pourrez contrôler un nouveau chasseur.

Chaque vaisseau dispose d'un tir principal (Lasers, déclenchables en pressant A) et secondaire (via un appui sur B), ce dernier étant souvent différent en fonction dudit vaisseau. Et c'est bel et bien celui-ci qui octroiera à chaque engin sa particularité. A titre d'exemple, n'espérez pas détruire un quadripode impérial avec autre chose que le câble de remorquage d'un speeder. La maniabilité de base reste assez classique, avec des déplacements via le stick directionnel, une sélection de la vue (cockpit ou extérieure) en pressant la touche X, et des possibilités d'accélération/freinage en utilisant les gâchettes analogiques. Sur les vaisseaux disposant de stabilisateurs repliables (X et B-Wing), le booster à sa puissance maximale entraînera cependant l'impossibilité de tirer via les lasers. Attention donc à ne pas en abuser au mauvais moment. Le stick C permet quant à lui de faire tourner la caméra. Jouer sur la vitesse du vaisseau et utiliser la touche Z pour effectuer les tonneaux sera crucial pour se débarrasser d'un poursuivant un peu trop déterminé à vous faire passer de vie à trépas. Dans ce cas précis, la caméra prendra automatiquement un peu plus de recul afin de vous permettre de voir le chasseur vous ayant pris pour cible, et d'ainsi pouvoir le semer dans les meilleures conditions possibles. A ce stade, hormis la possibilité de changer de vaisseau en cours de niveau, le gameplay semble assez proche de celui du premier volet. J'en arrive donc aux nouveautés marquantes.

La première n'est autre que l'ordinateur de visée. Comme mentionné plus haut, là où Rogue Squadron se contentait en grande partie de missions dans l'atmosphère, Rogue Leader fait la part belle aux escarmouches spatiales. Dans ces conditions, repérer des vaisseaux aussi petits et rapides que les chasseurs TIE au milieu des étoiles et des astéroïdes pourrait s'avérer fastidieux. C'est là qu'intervient l'aide à la visée. En maintenant la touche Y enfoncée, une sorte de filtre s'appliquera sur l'écran, faisant apparaître les chasseurs ennemis d'une couleur violette. Dans ces conditions, aligner les adversaires sera nettement plus aisé. Attention néanmoins, car abuser de cette aide aura pour effet de faire descendre votre score en flèche et par conséquent de vous priver de nombreuses médailles, synonymes, rappelons-le, de niveaux bonus.

La seconde nouveauté consiste en l'implémentation d'un système de communication avec vos équipiers. Différents ordres seront disponibles, chacun étant attribué à une direction du pavé directionnel. Un appui sur la « touche » correspondante pourra ainsi, entre autres, ordonner à vos ailiers de rester en formation, d'attaquer les chasseurs adverses, ou encore de s'axer sur la destruction des défenses au sol. Ne négligez pas cette possibilité, qui pourra bien souvent s'avérer cruciale ! Dans les missions de protection, par exemple, il sera utile d'envoyer les membres de votre escadron asticoter les chasseurs tandis que vous vous occupez « tranquillement » (notez les guillemets!) de ce vaisseau lourd qui canarde copieusement la frégate que vous êtes censé protéger.

A l'écran, ces différents ordres disponibles apparaîtront dans le coin supérieur gauche. En haut à droite, vous retrouverez un radar, vous indiquant la position de vos cibles ainsi que la direction à prendre afin d'atteindre le prochain objectif de mission. En bas à droite, vous pourrez prendre connaissance des munitions secondaires restantes pour le niveau en cours, certaines ayant pour particularité de se recharger petit à petit automatiquement. Enfin, le coin inférieur gauche vous donnera des informations sur la santé de votre appareil, qui pourra descendre à une vitesse vertigineuse si vous vous retrouvez aux prises avec plusieurs ennemis, et rien ne vous séparera alors de la perte d'une de vos trois vies. Toutefois, les chasseurs équipés d'un droid D2 (le Y-Wing et le X-Wing en l’occurrence) vous permettront parfois de réparer les dommages subis et d'ainsi vous offrir une seconde chance. Pour cela, il vous suffira de presser la croix directionnelle lorsque l'option « réparer » remplacera les habituels ordres disponibles pour les ailiers.

Terminons ce paragraphe sur le gameplay en mentionnant la possibilité de récupérer des améliorations technologiques dissimulées dans les niveaux. Celles-ci augmenteront les capacités de certains chasseurs, en boostant par exemple leurs lasers, ou en les équipant de boucliers ou de torpilles plus élaborés. Une nouvelle version de l'ordinateur de visée est également disponible, rendant possible la sélection de l'adversaire via le stick C. Ces améliorations représenteront une raison supplémentaire de visiter les maps de fond en comble, afin d'en découvrir tous les secrets...

Vous l'aurez compris, le gameplay de ce Rogue Leader est un véritable modèle du genre, d'autant que le stick analogique fait du pilotage un véritable plaisir et que le tout répond au doigt et à l’œil, malgré quelques petites saccades de temps à autre qui ont cependant le bon goût de ne jamais nuire à l'expérience de jeu...

Vitrine technologique, pour une Gamecube en état de grâce!

Ce qui m'amène tout logiquement à aborder l'aspect technique du titre de Factor 5. Et à ce niveau, le soft semble touché par une grâce divine. Rendez-vous compte : plus que d'être une véritable vitrine technique pour son support lors de sa sortie, il réussit le tour de force d'être toujours aussi magnifique plus de dix ans après sa commercialisation. Comprenons nous bien, je ne me contente pas de prétendre qu'il est splendide en se replaçant dans le contexte de l'époque, j'affirme qu'il est autrement plus beau que nombre de « jeux » vendus actuellement sur X-Box 360 ou Playstation 3. Tout ici semble être un prétexte à l'émerveillement du joueur. Les vaisseaux au même titre que les différents environnements visités, sont modélisés avec une telle finesse qu'ils semblent presque plus beaux que dans les films de George Lucas. Pas une texture ne se distingue par une qualité un peu moindre, et aucune concession n'a été faite sur la beauté de quelque élément que ce soit. Au delà de ça, Rogue Leader est également un véritable catalogues d'effets visuels tous plus impressionnants les uns que les autres. Jeux de lumière, explosions dans une gerbe de flammes et de débris, il suffit de contempler la splendide Cité des Nuages de Bespin pour s'apercevoir de l'étendue du travail des développeurs.

Le véritable tour de force réside cependant dans la mise en scène de l'ensemble. En effet, tout, absolument tout, a été pensé pour offrir au joueur la chance unique de se sentir partie intégrante des films de Lucas. Chaque mission en provenance de ces derniers a été scrupuleusement reproduite dans ses moindres détails, que ce soit au niveau des dialogues, dans les cinématiques, ou au sein des musiques. Ces éléments ont ainsi été insérés avec une synchronisation parfaite pour que l'expérience de jeu soit le plus proche possible des longs métrages, et vous revivrez ces grands moments de la trilogie comme si vous y étiez. Cerise sur le gâteau, chaque briefing d'avant-mission profitera comme fond sonore de la musique accompagnant le laïus de l'amiral Ackbar juste avant la bataille d'Endor. Même le hangar de sélection du vaisseau, identique au sein de tous les niveaux dans Rogue Squadron, prend ici une allure différente en fonction de l'environnement du stage à venir. Déambuler au sein de la base Echo ou d'un temple Massassi sur Yavin IV vous fera réellement ressentir la montée en pression précédant la bataille. Et que dire des bruitages, sinon que vous serez parcouru d'un irrépressible frisson en entendant le rugissement des doubles réacteurs ioniques d'un chasseur TIE à proximité de votre propre appareil, d'une sincère tristesse suite au cri d'agonie de votre unité D2, ou d'une brusque bouffée d'adrénaline en larguant vos torpilles à protons sur la bouche d'aération de l'Etoile Noire ?

Alors certes, le soft souffre de quelques petites fautes de goût. On pourra regretter que des voix françaises inédites pas toujours très inspirées -bien que plutôt correctes dans l'ensemble- aient remplacé celles des acteurs originels (notons tout de même, dans la version américaine, la présence de la voix de Denis Lawson, acteur ayant incarné Wedge Antilles dans la trilogie originelle), une gestion des collisions sujette à quelques ratés, la faute à une hitbox parfois quelque peu capricieuse. Mais que représentent ces quelques ridicules désagréments devant la magnificence de l'ensemble, et surtout l'immersion qu'il procure ? Si vous avez eu l'occasion de vous y essayer, amis fans de Star Wars, il ne fait aucun doute que vous connaissez d'ores et déjà la réponse à cette question.

Conclusion

Je pourrais continuer ce test indéfiniment avec des dizaines de pages de superlatifs en tout genre, mais je subodore que vous avez compris l'idée directrice : Rogue Leader est tout simplement un must have pour tous les possesseurs d'une Gamecube, à fortiori si ces derniers ont vu leur enfance marquée par la trilogie cinématographique signée George Lucas. Alliant une technique de haute volée à un gameplay nerveux et jouissif frisant la perfection, ce second épisode de la saga relève avec brio un défi pourtant loin d'être facile : faire mieux que son prédécesseur. A posséder absolument !


Réalisation : 19/20
Gameplay : 18/20
Bande son : 19/20
Durée de vie : 17/20
Scénario : 14/20

VERDICT : 18/20


Article publié le 28/10/2013 Jeu testé par Manuwaza